Un bon artisan passe son temps à aiguiser son art. Il affine sa technique, années après années. L’artiste, lui, doit en plus s’impliquer émotionnellement - et c’est parfois vertigineux. Il en faut bien du courage pour accoucher de ses failles et ses errances. Surtout lorsque l’on a connu l’ivresse d’une ascension fulgurante, d’un Olympia sold-out sans avoir sorti un premier album (devenu ensuite disque d’or), des tournées partout dans le monde devant des milliers de personnes, comme au Red Rocks, aux Etats-Unis.
Sauf que Fakear a eu besoin de retrouver Théo.
Il a fallu que le monde entier se confine pour que Théo Le Vigoureux, un Caennais sensible de trente ans fasse le tri : dans sa tête comme dans sa musique. Au point, même, de vouloir rompre avec son double musical, devenu parfois trop encombrant. Mais une histoire qui dure depuis dix ans ne se raye pas comme ça. Théo avait surtout besoin de réinventer Fakear : revenir à l’essentiel avec spontanéité et surtout honnêteté.
- Le Parisien Étudiant
- Orientation
- Examens
- Jobs Stages
- Vie étudiante
- Sortir
- Rechercher
- Contacter la rédaction
- ----------
- Le Parisien - À la une
- Paris & Île-de-France
- En continu
- Faits divers
- Politique
- International
- JO Paris 2024
- Sports
- Économie
- Futurs
- Société
- Santé
- Culture & loisirs
- En région
- Le Parisien Week-end
- Le Parisien Jardin
- Le Parisien Jeux
- Codes promo
- Vidéos
- Podcasts
- Newsletters
- Journal
- Services