S’éloignant des textes kaléidoscopiques de Columbine, Lujipeka s’exprime sans filtre, au plus près de ses émotions, préférant la sincérité aux effets de manche. « Je ne représente rien, mais je le représente quand même » (‘Eclipse’) : Montagnes Russes reflète les sentiments fluctuants d’une jeunesse lucide et débrouillarde parfois tentée de tout plaquer (‘Pas à Ma Place’) mais capable au final de trouver même au plus profond du ‘Seum’ l’espoir que ‘ça va aller.’
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